Traitement avec des médicaments substitutifs en cas des pharmacodépendances majeures et avérées aux opiacés comme la méthadone ou le L-Polamidon (en France aussi le chlorhydrate de buprénorphine (BHD) en haut dosage).
On différencie entre une thérapie permanente («entretien») et une thérapie de suspension avec la méthadone («entretien à l' abstinence»). Des objectifs avec la thérapie permanente, avec laquelle 40 à 80 milligrammes méthadone sont donnés tous les jours, sont surtout la stabilisation de santé, intégration sociale, l'empêchement de la criminalité et l'empêchement des infections sérieuses comme l'hépatite C ou le SIDA avec des dépendants des opiacés, en cas desquelles toutes les thérapies sans drogues ont échoué. Des thérapies pour atteindre l'abstinence avec la substitution de méthadone sont recommandés surtout avec des femmes dépendantes enceintes et aux nouveau-nés également dépendants de l'héroïne.
Tandis que des catamnésies américaines et anglaises (p. ex. F.R.Gearing, 1974) ont fait un rapport sur les succès de la thérapie permanente, le traitement de substitution avec la méthadone en Allemagne n'a été pris jusqu'en 1990 que dans les cas isolés particulièrement fondés en oeuvre, sur une plus longue période, car la méthadone peut conduire même à une dépendance physique et à des symptômes de suspension en écoulant.
Avec des les directives NUB (directives nouveaux de traitement) du comité fédéral des médecins et des caisses de maladie le 1er octobre 1991 qui règlent le traitement de dépendants avec la méthadone (et/ou levo-méthadone), le traitement de substitution dans les cas suivants est devenu possible:
Selon MILDT en France «La primo-préscription de la méthadone par les médecins exerçants en établissement de santé constitue un des objectifs en matière de substitution du plan triennal (1999-2001) de lutte contre la drogue et de prévention des dépendances.
La prescription initiale de la méthadone est réservée aux centres spécialisés de soins aux toxicomanes (CSST) et aux médecins exerçants en établissement de santé, pour le traitement substitutif des pharmacodépendances majeures aux opiacés. Les objectifs de cette utilisation ( de la méthadone) sont de favoriser:
Le relais à l'issue de la prise en charge en établissement pénitentiaire, à l'issue de la détention, soit vers un centre spécialisé, constitue un aspect fondamental de la prise en charge et doit être envisagé, avec le patient, dès l'indication de la prescription.
Pendant les trois premiers mois de prescription, les analyses urinaires de contrôle sont pratiquées une à deux fois par semaine.» Voir les analyses urinaire de contrôle.
Au cours des dernières années particulièrement des tentatives avec une ordonnance d'héroïne juridique pour des dépendants des opiacés complètement appauvris sont mises en oeuvre (ce que l'on appelle en anglais :Harm reduction) en Grande-Bretagne et en Suisse.
Comme autre «médicament de substitution» à partir de 1976 surtout des dépendants des opiacés, le médicament est devenu le Valorone (agent : Le Tilidine) utilisent comme moyens de substitution et/ou pour atténuer la suspension. Jusqu'au règlement des ordonnances de méthadone le dihydrocodéine occasionnel pour des suspensions ambulatoires a été prescrit par les médecins.